Droit pénal – Cabinet d’Avocat – Poitiers

Avocats GIROIRE REVALIER à Poitiers : droit pénal et assistance des victimes

Notre cabinet vous accompagne, depuis presque 30 ans, à Poitiers et dans la région. Pour ce faire, ses avocats accompagnent les victimes devant toutes les juridictions.

Le cabinet Giroire Revalier a développé un savoir-faire depuis 1989 dans l’assistance des victimes en vue de leur indemnisation.

En effet, Emmanuel Giroire Revalier est titulaire d’un diplôme de sciences criminelles et d’un DEA (diplôme d’étude approfondies en droit pénal, c’est l’ancienne dénomination devenu master II) ; il a exercé en tant que spécialiste reconnu en droit pénal devant les tribunaux correctionnels et les cours d’assises jusqu’en 2008.

Ensuite, il ne s’est consacré qu’aux victimes et a été reconnu spécialiste en réparation du préjudice corporel.

La constitution de partie civile donne la qualité de partie prenante à une procédure pénale et permet notamment à la victime d’obtenir la réparation de ses préjudices.

Le cabinet Giroire Revalier assiste les victimes devant toutes les juridictions pénales et les juges d’instruction, en matière correctionnelle ou criminelle.

Victime : faire reconnaitre ses préjudices

Être reconnu comme victime n’est pas suffisant : il faut surtout faire reconnaître ses préjudices, les faire quantifier au mieux des règles d’évaluation et surtout savoir comment faire payer les auteurs responsables, leurs éventuels assureurs ou à défaut l’État (au travers des commissions (CICI, CCI, etc.) ou des organismes spéciaux (ONIAM, FGTI, FIVA, etc.).

Il est clair que le recours à l’avocat, qui plus est s’il est reconnu comme spécialiste, est la solution pour y parvenir.

Ceci suppose le recours à des procédures particulières et il faut comprendre que si la France a organisé des processus particuliers d’indemnisation des victimes dans certains cas, cela ne signifie pas pour autant que la victime sera spontanément prise en charge en vue de son indemnisation complète.

En réalité, les organismes (comme par exemple l’ONIAM) qui sont en charge d’un budget confié par les pouvoirs publics pour indemniser les victimes au titre de la solidarité nationale réagissent comme des assureurs pour limiter leurs paiements. Ils se comportent de la même manière dans les procédures dites amiables.

Pour justifier la limitation de leurs offres, ils prétextent devoir indemniser moins car ils interviennent au titre de la solidarité nationale ; en réalité, ils doivent, comme les assureurs, l’indemnisation intégrale et il ne faut donc pas hésiter à prendre un avocat pour engager une procédure afin que les juges reconnaissent le droit à une indemnité intégrale.